Écrire ses partitions

Écrire ses partitions

Écrire ses partitions sur logiciel – Logiciel Dorico de Steinberg

Depuis de nombreux siècles, la phase « d’écriture musicale » a souvent été considérée par les musiciens comme un… mal nécessaire, utile à la mise en oeuvre du travail de répétitions, mais aussi à la transmission de leur oeuvre aux générations futures. Mais ceci au détriment de l’immédiateté de « l’idée », tout au moins sur le plan compositionnel.

Cependant, la partition s’impose quand même comme le moyen le plus pratique pour communiquer entre musiciens ! La proposition de Steinberg, qui offre un éditeur de partitions dans Cubase, mérite donc d’être analysée…

 

Logiciel Dorico – Les premiers pas

Une grande partie de la « difficulté » d’utilisation d’un éditeur de partitions réside dans la configuration du projet sur lequel on va travailler. Facile pour une partition de chant simple, mais ça peut devenir très vite bien plus ardu dès lors qu’il s’agit d’une partition d’orchestre.

Le logiciel doit donc permettre au musicien une saisie rapide de sa création. Sans doute, était-ce l’objectif fondamental du cahier des charges de Dorico, puisqu’il propose une approche mono-écran qui permet un travail global sur le projet, sans faire appel à plusieurs fenêtres.

 

Écrire de la musique avec un logiciel

Il est certain que les développeurs de Dorico ont été particulièrement attentifs aux fonctionnalités, fragilités et points forts des autres logiciels d’édition de partitions. Dorico se déguste immédiatement, sans qu’il soit nécessaire, au premier niveau, de faire appel à une quelconque aide en ligne ou au mode d’emploi, qui d’ailleurs est quand même un peu léger…

L’ensemble des professionnels de la musique, compositeurs, arrangeurs, graveurs devrait apprécier la réactivité du logiciel et il est fort probable que le monde de l’enseignement artistique, professeurs de conservatoire, d’éducation musicale en collège, chefs de chœur, directeurs d’harmonie ou de petits ensembles, tout comme les musiciens amateurs en feront très vite leur outil de travail préféré !

Les aficionados de Finale risquent de connaître un (court) moment de désarroi dans leurs habitudes, car l’approche du logiciel se veut une nouvelle fois différente et, surtout, proche de la logique papier/crayon , avec d’efficaces raccourcis clavier qui suppriment les menus contextuels.

 

L’interface principale propose cinq onglets, Configuration, Écriture, Gravure, Lecture et Impression, qui, comme leurs noms l’indiquent, permettent l’accès à différents paramétrages et aux configurations de la fenêtre de travail.

Configuration et écriture – Logiciel Dorico

C’est par l’onglet « Configuration » que l’on accédera à la page de travail. On y trouvera l’identification des instruments utilisés, ainsi que toutes les options immédiatement accessibles, telles que les possibilités de disposition des portées, leur taille, etc. Les options d’affichage (score complet, partition séparée) prévoient aussi de réaliser des groupes de portées qu’on pourra adapter aux besoins : les bois, avec un piano conducteur, les cordes et le solo de flûte… On pourrait presque se prendre à rêver, dans l’avenir, d’une partition interactive sur tablette, pour les musiciens d’un orchestre symphonique !

N’hésitez pas à nous contacter pour prévoir des cours en ligne !

 

 

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